Quelque part en moi sommeille un monstre,
qui parfois sans crier gare,
Il me bassine de vieilles rengaines, m'invite à m'enfoncer,
un peu plus loin dans les méandres de ma pensée.
Il me susurre à l'oreille,
qui parfois sans crier gare,
se réveille à mes dépens.
J'aimerais qu'il s'en aille, mais de temps en temps,
J'aimerais qu'il s'en aille, mais de temps en temps,
c'est plus fort que moi, je tends l'oreille un instant.
Il me bassine de vieilles rengaines, m'invite à m'enfoncer,
un peu plus loin dans les méandres de ma pensée.
Il me susurre à l'oreille,
sournois, m'appâte avec ferveur,
et je me laisse entraîner,
et je me laisse entraîner,
par sa musique d'horreur.
J'aimerais qu'il n'existe plus.
J'aimerais qu'il n'existe plus.
Mais le renier le renforce.
Et si au delà de cette tonitruante musique,
n'y avait-il pas là quelques pistes,
qu'il faudrait voir avec le coeur,
et entrevoir peut-être ainsi, la mélodie du bonheur.
Et si au delà de cette tonitruante musique,
n'y avait-il pas là quelques pistes,
qu'il faudrait voir avec le coeur,
et entrevoir peut-être ainsi, la mélodie du bonheur.
“ Tous les dragons de notre vie sont peut-être des princesses qui attendent de nous voir beaux et courageux.
RépondreSupprimerToutes les choses terrifiantes ne sont peut-être que des choses sans secours qui attendent que nous les secourions. ”
Rainer Maria Rilke